Pétition : Faut-il rétablir la peine de mort pour protéger nos enfants ?

Le 9 octobre, Robert Badinter est entré au Panthéon.
L’homme qui fit de l’abolition de la peine de mort son cheval de bataille, imposée contre la volonté populaire, sera célébré par l’État.

Mais derrière les grands discours et les hommages officiels, la réalité est insupportable : plus aucune perpétuité réelle, plus de peines plancher, des criminels étrangers libérés trop tôt, qui récidivent, et des Français qui meurent, encore et encore, victimes d’un laxisme judiciaire et migratoire.

Et parmi les victimes de ce système, rappelons-nous de Philippine, cette jeune française de 19 ans qui, il y a un an déjà, a été violée, assassinée puis enterrée au Bois de Boulogne par Taha Oualidat, immigré marocain de 22 ans.
Déjà condamné pour viol, déjà sous OQTF, il avait pourtant été libéré après seulement 5 ans de prison sur 7.

Comme le rappelle sa mère, Blandine :
« Cet individu n’aurait jamais dû se trouver sur son chemin, donc c’est encore plus révoltant ! ». Et d’ajouter : « Ceux qui ont failli à leur fonction n’ont pas eu un mot pour Philippine, aucun n’a envoyé une gerbe sur sa tombe. Cela montre à quel point ils ne se sentent ni coupables ni responsables. »

Et Philippine n’est pas un cas isolé.
En octobre s’ouvrira le procès de Dabia Benkired, meurtrière de la petite Lola, 12 ans, violée, torturée et étouffée. Cette criminelle aussi est une étrangère sous OQTF.

Face à ces crimes monstrueux, la gauche détourne le regard, parle de “faits divers” et accuse… l’extrême droite ! Pendant ce temps, nos filles, nos sœurs, nos mères sont agressées, violées ou assassinées.

Alors que les parodies de procès se succèdent, que les criminels ricanent face aux juges rouges, que les victimes ne trouvent jamais la paix, l’État panthéonise l’architecte de ce système injuste et dangereux. Voilà le vrai scandale.

C’est pourquoi, pour paraphraser Albert Londres, Radio Courtoisie a décidé de porter la plume dans la plaie.

Vous le savez : par ses articles indignés, le célèbre “père des reporters”, avait dénoncé la traite des Blanches ou fait fermer le bagne de Cayenne.

En ce qui nous concerne, nous pensons qu’il faut rouvrir le débat interdit, celui de la peine de mort, car l’injustice aujourd’hui, a changé de bord. 

Elle est dans l’impunité des criminels, dans le laxisme coupable des magistrats et la lâcheté des politiques qui n’osent plus s’emparer des grands sujets de société.

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Plus vous serez nombreux à nous soutenir, plus nous pourrons donner de l’écho à ce combat vital : protéger nos enfants, rendre la justice au peuple, briser l’omerta médiatique.

Signez ici notre pétition pour exiger, 45 ans après son abolition, la réouverture d’un libre débat sur la peine de mort ou la perpétuité réelle :